CO2 Storage in Caverns and Mines
Stockage du CO2 dans les cavernes et les mines
Imperial College London
Corresponding author: j.q.shi@imparaial.ac.uk
In addition to the "conventional" geological storage options (depleted hydrocarbon reservoirs, saline aquifers and unminable coal seams), it has been suggested that CO2 may also be stored in large man-made cavities such as caverns and mines. It is noted that salt caverns, along with depleted gas reservoirs and aquifers, have been used to store natural gas to meet seasonal cyclic or daily demand increase for several decades. Examples of natural gas storage in abandoned mines can also be found. The proven track record of salt caverns and abandoned mines for natural gas storage suggest that they may offer alternative solutions for geological storage of CO2, particularly where the conventional storage options (saline aquifers, depleted oil and gas reservoirs and deep unminable coal seams) are limited or not available near a point CO2 source. In order to reduce the transport distance and thus overall storage cost, geological storage sites should be located as close to the CO2 emissions points as possible.
Résumé
Une option envisagée pour le stockage du CO2, en plus des procédés classiques (réservoirs déplétés, aquifères salins, charbons), consiste à utiliser les grandes cavités creusées par l'homme, comme les cavernes et les mines. Les cavernes de sel, comme les réservoirs de gaz déplétés et les aquifères, sont utilisées depuis plusieurs dizaines d'années pour stocker le gaz naturel afin de faire face aux cycles quotidiens ou saisonniers de la demande. On trouve aussi des exemples de stockage de gaz naturel dans des mines abandonnées. Ces exemples prouvent que ces sites offrent une alternative au stockage géologique du CO2, particulièrement lorsque les options classiques sont limitées ou non accessibles au voisinage d'une source de CO2. En effet, afin de réduire les distances de transport et donc les coûts, il est important que les sites de stockage soient localisés à proximité des points d'émission du CO2.
© IFP, 2005